13 Juin 2017
Un exemplaire de mon livre "L'euthanasieur; faut-il créer un nouveau métier?" avait été adressé à chacun des 955 parlementaires en fonction début 2013, grâce au généreux don "Carcelli-lamblin". Notre nouveau président n'était pas de ceux-ci. Il m'a paru important de l'informer dès son arrivée au pouvoir des insuffisances persistantes de la loi actuelle, par un envoi d'un exemplaire dédicacé de ce roman, d'autant que ce problème de la gestion de nos fins de vie n'apparaissait pas clairement dans son programme électoral. La réponse de son chef de cabinet, ci-contre, est sympathique mais pas encore assez précise. Je poursuis donc mon action pour obtenir: 1) la légalisation de l'aide à la fin de vie active, 2) sa réalisation adaptée aux souhaits exprimés ou aux déclarations des directives anticipées du patient, 3) ses indications élargies à des demandes hors d'un décès proche mais sous un contrôle strict, effectué a priori et non a posteriori comme cela se pratique actuellement au Benelux.